Le site de Kotor fut fortifié dès l'époque byzantine, à partir du IXe siècle. Ses murailles furent renforcées par des bastions construits aux XIIe et XIVe siècles, puis consolidées durant la période de la domination vénitienne des XVe et XVIIIe siècles et jusqu'au XIXe siècle. Ses hautes murailles lui permirent de résister aux assauts des Turcs qui assiégèrent la ville en 1538 et 1657.
C’est à la suite du tremblement de terre, en 1979, que la ville fut inscrite à la liste des sites classés de l’UNESCO. Les murs d’enceinte ont été récemment restaurés. Ils s'élèvent jusqu'à la forteresse Saint-Jean et s'étirent donc sur une longueur totale de quatre kilomètres et demi.
Placée un temps sous la domination autrichienne, la ville fut intégrée, après 1918, à la Yougoslavie et, après 1945, au sein de la République socialiste du Monténégro. Jusqu’au début du XXe siècle, les Croates catholiques constituaient la majeure partie de la population de Kotor mais désormais la population monténégrine orthodoxe est majoritaire.
Bordée par la mer Adriatique, cette ville est réputée pour ses plages et sa vie nocturne.
Ce parc national a été façonné par ses glaciers et abrite des forêts primaires de pins noirs.
Le Monténégro se caractérise par ses montagnes, ses villages médiévaux et ses plages.